Capitalisme

Capitalisme

Dans le grand cirque du Capitalisme, les dollars jonglent avec les euros sous le regard attentif des actionnaires.

Chaque entreprise est un ring où les concurrents se livrent une bataille féroce. Les patrons sont les chefs de piste, jonglant avec les bénéfices et les licenciements comme des boules de feu. Les employés sont les acrobates, jonglant avec les tâches et les horaires comme des funambules sans filet.

Vive le Capitalisme.

Les clients sont les spectateurs, applaudissant avec leurs cartes de crédit à chaque numéro réussi. Les publicités sont les affiches de ce grand spectacle, promettant des merveilles pour quelques pièces de monnaie. Les fluctuations boursières sont les tours de magie, où l’argent disparaît aussi vite qu’il est apparu. Les licenciements sont les numéros de trapèze, où certains chutent tandis que d’autres volent plus haut. Les fusions et acquisitions sont les duels à l’épée, où seuls les plus forts survivent.

Les paradis fiscaux sont les cachettes secrètes des magiciens capitalistes, où l’argent disparaît comme par enchantement. Les crises économiques sont les catastrophes naturelles, balayant tout sur leur passage sans distinction. Les bonus sont les récompenses pour les meilleurs artistes, applaudis par une foule en délire. Les scandales financiers sont les numéros de clown, où tout le monde rit jusqu’à ce que quelqu’un se blesse.

Et au milieu de tout ce chaos, le capitalisme continue son spectacle, défiant les lois de la gravité et de la morale avec une aisance déconcertante. Et la pauvreté bordel !