Chaque sujet mériterait un article spécifique. La plupart sont alarmants, ou révoltants. Cependant la situation à pu évoluer depuis 2012 sur certains sujets, notamment aux fraudes à la Sécu (pensions à l’étranger, fausses cartes vitale…) Chacun mérite d’être étudié avec plus de précisions et de sources fiables. Par ailleurs il est facile de fustiger les “socialistes” (qui depuis sont devenus une petite portion de l’électorat) mais il faut se souvenir que les mesures contestées ont été prises par la droite et notamment Chirac…

Oui je sais moi les 780 je ne les touche pas et pourtant 46 ans de cotisation S S et URSSAF puisque j étais artisan.Je crois que j ai donné mais si on discute sur la retraite qui était a 65 ans en 1974 ok que l on travaillais 40 heures minimum la semaine que dois t on dire aussi des gens qui toute leur vie qui n ont jamais appris à vivre sans dépenser leur argent avant qu’il est reçu ok alors pour moi la solidarité j e la fait maintenant autour de moi pour famille et amis et le reste je m en fou il n ont qu a apprendre à économiser

Encore un râleur ! Gaulois, sans aucun doute.
D’autant plus que les choses changent… quand elles s’aggravent ! Surtout quand les plus riches deviennent plus riches et que les plus pauvres éprouvent le “sentiment” d’être plus pauvres (Vous avez pu remarquer que les “sentiments” ne manquent pas, en France).
Car la pauvreté ne croît pas (sauf à de rares exceptions près) : c’est l’écart entre les riches et les pauvres qui croît ! surtout – hasard ? – depuis la période de la pandémie et – nouveau hasard ? – depuis les évènements survenus à l’Est de l’Europe (Si je dis “guerre”, je risque d’être repris par les russophiles et si je dis “opérations spéciales”, ce sera par les « pasionarias » blondes qui se déchaînent sur certains médias). et à constater les hausses de prix de certains produits – alimentaires notamment – cet écart ne peut que croître encore (la hausse des frais de transports ne justifant pas tout, comme on peut le constater entre le coût du panier de la ménagère française et celui de la ménagère belge, quoique l’inflation soit le double en Belgique que celle reconnue officiellement en France).
Au fait, le mot “justice” il existe encore dans le dictionnaire ? Quand on voit les délais avec laquelle elle est rendue, en France ! Alors, la justice sociale, c’est comme la charité, on en parle d’autant plus qu’on la pratique moins…

 ils l'ont fait cotiser tout en sachant d'avance qu'ils ne lui paieront pas se retraite , y a un truc que je ne comprend pas là, personne ne l'a prévenue , même pas sa caisse de retraite ,pourtant c'est son role aussi de prévenir, de renseigner
pour le reste au magredh , afrique ,ils vendent des kits pour arnaquer sécu , caf ect
c'es pas d'aujourd'hui s'commerce, si j'ajoute que tout se qui existe comme trafic sur terre
depuis quelques années passe par la france , ils se sont aperçu que la justice en frenchie est laxiste , voire lache pis hé , si tu savais s'que tu paye de ta poche tous les jours, t'arrèterais de bosser,j'ai fait l'experience avec un pote , il a été ecoeuré au point de quitter le trsè bon boulot,
qu'il avait
tins j'vais t'en donner deux ,sns trop de détails ,me pose pas non plus de questions sur ces deux ex ,parmis une multitude d'autres
ta ceux qui sont officiellement chomeurs, mais qui officieusement ? ,dont tu paye en nature, vacances, hotels, autoroute gratos ect ect ..
ta ceux qui sont virés de ? , mais a qui on paye quand même leurs salaires pasque ?
et ça c'est une infime partie de l'interminable liste

Très cher Trugluff,
il ne s'agit nullement de justice "sociale", mais de justice "socialiste", que la droite a bien malheureusement pérénnisée également quand elle était au pouvoir.
Comment en effet un intellectuel, de gauche soit-il, formé dans nos meilleures écoles d'administration, cultivé au demeurant, peut être assez aveugle pour ne pas se rendre compte que les belles idées défendues à gauche ne sont tout bonnement pas praticables ?
Non pas qu'elles n'aient aucun sens, soient idiotes ou erronées, mais tout simplement parce qu'elles ne sont pas applicable en l'état actuel de développement moral de l'être humain. C'est toute l'ambiguïté de la gauche qui se révèle dans votre texte.
Elle essaye de mettre en place des solutions partielles à des problèmes globaux et au lieu de résoudre les problèmes dans l'ordre logique, les politiques de gauche commencent à l'envers, en donnant la récompense avant que l'effort ne soit fait.
On n'a jamais vu le moindre animal (homme compris) s'épanouir dans un tel système.
Imaginons un élève auquel on mettrait 20/20 avant qu'il n'ait appris sa leçon. C'est envisageable bien évidemment et certains peut-être (presque aucun cependant) apprendraient leur leçon. Quid des autres !
Dans quelques siècle, quand l'humanité aura évolué, saura se positionner dans un monde partagé, que chacun comprendra, acceptera et vivra la notion de sacrifice pour la collectivité, alors les belles idées de gauche pourront s'appliquer … sauf qu'elles ne seront plus utiles :=)
C'est en ce sens que la gauche s'est toujours trompée dans ses raisonnements, du moins depuis qu'elle a perdu le sens pratique (*), car elle cherche à la fois à protéger le faible avec comme conséquence de l'abrutir toujours plus et le rendre dépendant à l'État, tout en tapant sur le fort qui est le moteur de la société, économiquement, culturellement, etc …
Une équation tout simplement impossible, donc pas de solution de long terme.
Pour revenir à votre texte, il est évident que les droits, les devoirs et sanctions liées à ces notions  devraient être réfléchis, repensés et restructurés avec des contraintes logiques dépendantes les unes des autres et non des contraintes juridiques indépendantes entre elles. Je m'explique :)
Ça permettrait par exemple :
– de verser plus à un retraité qui a travaillé toute sa vie pour construire/maintenir/entretenir le pays qu'à celui qui n'a jamais travaillé et qui malheureusement attend devant sa télé que les subsides étatiques rejoignent sa gougette.
– de sanctionner plus fortement une personne qui vole un sac à main que celui qui dépasse la vitesse limite de 1 km/h sur une 4 voies en pleine nuit sans personne sur la route.
– ou tout simplement de faire exécuter réellement les décisions de justice et éviter que celui qui a 18 mois de prison ferme ne les fasse pas quand celui qui doit 10 euros à l'État reçoit la visite des huissiers.
Il n'est malheureusement pas certain que nos énarques (de gauche et de droite également) aient une vision suffisamment globale et pragmatique (terrain) pour comprendre ces évidences. Peut-être faudra-t-il couper des têtes et remplacer ces chefs politiques par des chefs d'État, des vrais, qui pensent au bien du pays et pas au bien de leur amis ou de la prochaine élection.
(*) il fut un temps où les hommes politiques de gauche avaient une vraie vision claire de leurs élus.
Blanqui par exemple était farouchement opposé au suffrage universel car il savait (et disait) qu'il est totalement idiot de demander son avis sur des sujets complexes à des personnes qui ne sont pas suffisamment informées ou compétentes.
Jaurès lui-même, qu'on ne peut pas classer bien à droite, n'affirmait-il pas que "Il n'y a de classe dirigeante que courageuse. A toute époque, les classes dirigeantes se sont constituées par le courage, par l'acceptation consciente du risque. Dirige celui qui risque ce que les dirigés ne veulent pas risquer.Est respecté celui qui, volontairement, accomplit pour les autres les actes difficiles ou dangereux. (…) Lorsque les ouvriers accusent les patrons d'être des jouisseurs qui veulent gagner beaucoup pour s'amuser, ils ne comprennent pas bien l'âme patronale. Sans doute, il y a des patrons qui s'amusent, mais ce qu'ils veulent avant tout, quand ils sont vraiment des patrons, c'est gagner la bataille. Il y en a beaucoup qui, en grossissant leur fortune, ne se donneront pas une jouissance de plus : en tout cas, ce n'est point surtout à cela qu'ils songent. Ils sont heureux quand ils font un bel inventaire, de se dire que leur peine ardente n'est pas perdue, qu'il y a un résultat positif, palpable, que de tous les hasards, il est sorti quelque chose, et que leur puissance d'action s'est accrue. Non, en vérité, le patronat, tel que la société le fait, n'est pas une condition enviable. Et ce n'est pas avec les sentiments de colère ou de convoitise que les hommes devraient se regarder les uns les autres, mais avec une sorte de pitié réciproque qui serait peut-être le prélude de la justice (La dépêche de Toulouse, 28 mai 1890)".
Voilà ce que j'appelle pour ma part de vrais hommes politiques de gauche : de belles idées utopiques, des convictions, la volonté de faire ce qu'il faut pour qu'un jour elles ne soient plus utopiques, mais avec un pragmatisme du quotidien salvateur.
Messieurs Hollande et consors, vous devriez relire et méditez vos pères spirituels car vous n'en êtes plus que l'enveloppe creuse et dégradée.
Denis