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CORONAVIRUS vive la quarantaine

CORONAVIRUS et la quarantaine.

Vivre et rire malgré toux.

Vivre et rire malgré toux et avec le CORONAVIRUS et la quarantaine.

 

CORONAVIRUS – voilà un nom de centurion romain tout droit sorti du camp retranché de Babaorum proche du village d’Astérix. Pour une fois ce centurion romain fait trembler la Gaule et Rome. Les confinés et les cons finis se retrouvent unis à se laver les mains et à se serrer les coudes … pour se saluer.

CORONAVIRUS et la quarantaine : le bel âge pour faire suer le monde !

 

 Huby – Je croyais les grandes épidémies meurtrières disparues, toutes remplacées au fil des siècles par la seule prolifération des êtres humains à se nuire à eux-mêmes. Je me suis trompée.

ARCHIBALD – C’est là que l’on s’aperçoit que l’Homme n’est pas son unique destructeur : le virus reste le dernier prédateur de l’Homme.

Madgic – C’est pour cela qu’il ne faut jamais sous-estimer son adversaire – une bande de racailles se voit, pas un virus.

Magmax – Ben moi qui croyais que l’animal le plus dangereux pour l’Homme après la panthère noire c’était la moule pourrie !

Blaireau – Ce que je ne comprends pas, c’est que si le CORONAVIRUS est si dangereux, pourquoi le Dr House ne dit rien ?

Cake 40 – Moi, je ne comprends pas que pour lutter contre le COVID-19 on n’utilise pas Windows !
                                                                              Tout le monde !!!!

Cake 40 – Ben oui ! La seule raison valable d’utiliser Windows, c’est pour tester un virus.

ARCHIBALD – Je ne veux pas minimiser la pandémie dont nous sommes victimes, loin s’en faut, mais il convient tout de même de garder raison :
     • au XIVème siècle, la peste noire a tué environ 25 millions d’européens en décimant de 30 à 50% de la population,
     • le tabac tue chaque année en France 78 000 personnes soit 6 millions dans le monde ou 16 438 par jour, dont 890 000 victimes du tabagisme passif, dont un peu plus d’un quart d’enfants. Ce sont là des morts évitables,
     • l’alcool, tue chaque année en France 49 000 personnes et selon l’OMS 3 millions dans le monde ce qui représente 5,3% des décès sur terre. Ce sont là aussi des morts évitables,
     • quant au cancer en France, il a enregistré 157 400 décès en 2018 soit 431 par jour et 9.6 millions à l’échelon de la planète, 274 285 par jour et 18 à la minute !
Encore une fois je me répète et sans minimiser l’ampleur de la crise dont nous sommes atteints, j’apprécierais que les Autorités mondiales se mobilisent, à la même échelle de moyens, sur des causes de mortalité encore plus graves.

Blaireau – Le CORONAVIRUS ça me fatigue, je vais finir par le prendre en grippe.

Magmax – Je m’interroge sur le jour où le virus COVID-19 croise le virus du SIDA, le mec qui les chope n’a plus qu’à se raser les os.

P.S : un grand merci à tous nos Soignants pour leur mobilisation

A la semaine prochaine  …

                                                   

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#LesTronchesDeCake #Coronavirus #Covid19 #CoronavirusEtLaQuarantaine      Sources : Le Soleil       Le Monde        20minutes.fr        L’Express

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12 commentaires

guy benichou 24 mars 2020 - 12h09

Moi dit Poutine! Ma vie russe je l’a combat avec de la VODKA et vous?

Réponse
les Tronches de Cake
Trugluff 24 mars 2020 - 12h19

Tant mieux, à ce régime tu dureras longtemps et l’on s’en réjouit !

Réponse
Paul de Métairy 24 mars 2020 - 17h04

Selon l’OMS “une épidémie correspond à la propagation d’une nouvelle maladie chez un grand nombre d’individus non immunisés dans une région donnée, tandis qu’une pandémie est la propagation mondiale à grande échelle de cette même maladie dans plus de 2 continents”. Or, 360.000 cas sur 7.000.000.000, soit 0,0052 % est-ce “à grande échelle” ?

Statistiquement, le COVID 19 est une maladie rare ; les mathématiques ne mentent pas, ne font pas de politique, et ne versent pas dans le sensationnalisme effréné dont se repaissent les médias.

Définition d’une « épidémie » : Développement rapide d’une maladie contagieuse chez un grand nombre d’individus d’une région donnée.

Pour la France, le “grand nombre d’individus”, par un simple calcul de pourcentage, est de 0,0003 % !!! Donc, le COVID 19 n’est même pas une épidémie. Rien à voir avec la grippe, la gastro-entérite, le rhume (plusieurs millions de malades en France) etc.

Sur le site gouvernemental “solidarités-santé”, on apprend qu’une maladie est considérée comme « rare » si elle touche au maximum une personne sur 2.000, soit 65.000.000 / 2.000 = 32.500 personnes ; comme seulement 20.000 personnes sont affectées par le COVID 19, c’est une simple maladie infectieuse, 1,5 fois plus rare qu’une maladie rare !

Par conséquent, décréter « l’urgence sanitaire » pour une maladie 1,5 fois plus rare qu’une maladie rare, est une totale aberration. Autant déclencher l’alerte au tsunami en voyant la rosée du matin sur une prairie.

Il y a dans le monde 360.000 malades du COVID 19, mais il y a 37.900.000 personnes atteinte du SIDA, avec 770.000 morts en 2018… et on ne déclenche ni le confinement (pendant 50 ans ?) ni l’état d’urgence sanitaire !

Mais alors, pourquoi l’affolement, la panique, la “guerre” actuels pour un virus rare dont on guérit habituellement en 3 jours hors cas de comorbidité ?

En fait, on assiste à la conjonction de deux éléments : le souvenir de la grippe asiatique (plusieurs millions de morts) et les moeurs staliniennes d’un pays comme la Chine qui a pris les mesures dictatoriale habituelles, dont se sont goulûment repus les médias. Sans réfléchir plus loin, la conclusion était « évidente » (?) : il allait nécessairement « falloir » faire pareil, un jour ou l’autre…

Puisque la période d’incubation du virus peut aller jusqu’à 3 semaines, il est évident que les malades de cette semaine ont été infectés il y a 1, 2, ou 3 semaines, et le confinement n’aura pas d’effet rétroactif, désolé ! Le nombre de malades va augmenter sans qu’on puisse y faire quoi que ce soit. Il est même possible que, sans le savoir, nous ayons déjà dépassé le pic de contamination, et le confinement n’a plus guère de sens.

Les apprentis-sorciers ? Dès le début de l’affaire, quand on a interdit les rassemblements de plus de 5.000 personnes, avant de passer à 1.000, puis à 100, puis à 20, voire à 5, en quelques jours, j’avais contacté le Ministère de la Santé pour faire observer qu’il vaudrait mieux « laisser faire » le virus, qui, cette année n’est pas très dangereux dans 95 % des cas. Pourquoi ? Simplement pour permettre à un maximum de personnes d’être en contact avec ce virus et à apprendre à se défendre contre lui, ce qui permettra d’être prêt si l’an prochain une forme plus sévère se manifeste : ce serait une catastrophe pour ceux qui n’ont pas développé de défenses cette année à cause d’un confinement irréfléchi.

C’est en définitive l’attitude qui sera adoptée en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas, en Suède, etc. Quelques experts (?) donneurs de leçon, tout en reconnaissant le principe valable, trouvèrent contraire à l’éthique de “provoquer” ainsi la mort de nombreuses personnes, … alors que rien ne leur interdisait de respecter les règles d’hygiène et de distances notamment pour les personnes à risque, ce qui éloignait tout danger. S’il y a aussi peu de morts en Allemagne, c’est grâce au respect de ces règles simples, contrairement à la France, où on en prend beaucoup à son aise en matière d’hygiène.

Puis, on est passé à l’aberration… Fermer les commerces “non essentiels”, quand on y voit le peu de clients par jour, même à Paris, c’est franchement ridicule ! Dans l’émission “Les reines du shopping” sur M6, quand la candidate entre dans une boutique de vêtements, il n’y a personne ou presque. En Belgique, avec un certain réalisme et du bon sens, on ne ferme ces commerces que quand il y a plus de monde, le samedi, et ils restent ouverts en semaine.

La Belgique a aussi réduit l’affluence dans les supermarchés à 1 personne par 10 m2, et nulle obligation d’attestation ; dans mon supermarché, c’était limité à 10 personnes… pour 1500 m2 ! Et les autres attendaient dehors au moins 1 h, même les personnes à la station debout pénible, dont une dame âgée qui venait d’être opérée d’un Hallux Valgus. Heureusement qu’il ne tombait pas des giboulées de mars qui auraient envoyé bon nombre de ces personnes à l’hôpital ! Voire au cimetière…

Plus navrant : on ne peut plus faire à nos défunts des funérailles dignes de ce nom, aussi bien dans un funérarium étriqué que dans une vaste cathédrale, où c’est limité à 20 personnes. Quand je pense à toute la polémique d’il y a quelques semaines à propos du congé en cas de décès d’enfant, et où on appelait à faire preuve « d’humanité ». Où trouver cette « humanité » s’il n’y a même pas la place pour tous les proches ? On peut très bien se passer de défiler devant la famille en leur serrant longuement les mains et en leur bavant sur la figure, ce qui suffirait à réduire les risques.

Sous prétexte d’une maladie mathématiquement rare, affectant à peine 0,0003 % de la population, on ruine tout le pays : commerces, agriculture, industrie. Mais Mr Bruno Le Maire a trouvé la panacée : les cultivateurs ne trouvant plus à écouler leurs récoltes de fruits et légumes qu’il faudra détruire (!), n’ont qu’à se verser à eux-mêmes une prime de 1.000 €… Les commerces, déjà mal en point après les manifestations répétées et les blocages des Gilets Jaunes, mis dans “l’orange foncé” par les grèves des transports, et maintenant dans le rouge à cause d’une fermeture obligatoire pour un virus à 0,0003 %, s’en tireront facilement en se versant une prime de 1.000 € vite fait bien fait. Les petites et moyennes entreprises, déjà très affectées par les mêmes phénomènes que les commerçants, sur le point de faire faillite, et/ou de licencier, n’ont qu’à aggraver leur situation en versant 1.000 € à tout le monde.

Et les médias sont aux anges, et jubilent ! C’est avec une délectation sans bornes que les télés nous servent les chiffres du jour, comme si c’était une friandise exquise. On nous montre avec complaisance un individu, sur un marché, qui se plaint de ne pas y être seul (il n’avait qu’à rester chez lui !). Quand une présentatrice a montré un malheureux maraîcher qui allait devoir détruire toute sa production de fraises, elle en jouissait à fond, avec un large sourire d’une oreille à l’autre. Mais qu’on pousse à la ruine, voire au suicide, “un bouseux de paysan”, « ça c’est pas grave, allez, Madame ! ». Et que le nombre de suicides, ajouté au nombre d’homicides conjugaux dus au confinement, s’ajoute au nombre de morts dus au virus, c’est juste des petits “dommages collatéraux”…

Quand on a appris aux médias qu’on avait trouvé un traitement prometteur (hydroxychloroquine), là alors, ça n’allait plus du tout, c’était inadmissible : on leur retirait le pain de la bouche, si tous les malades guérissaient en 3 jours, tout leur monde s’écroulait et ils allaient en faire une dépression. Aussi, on s’est empressé de trouver un pseudo-expert qui, la bouche en cœur, a apaisé leurs craintes en promettant de retarder au maximum la mise sur le marché d’un médicament… qui y est depuis 70 ans, pour étudier les effets secondaires connus depuis 70 ans.

En Italie, on assiste à un grand nombre quotidien de décès ; du coup, on va fermer toutes les usines et entreprises non vitales ; problème : les décès sont chez des personnes âgées déjà atteinte par d’autres maladies, plus graves, contaminées depuis des semaines, et qui ne travaillent plus en usine depuis longtemps, évidemment ! Cherchez l’erreur… Cela n’empêchera pas certains de vouloir faire pareil en France, toujours à la pointe des mesures extrêmes.

  Quand nous aurons mis toute notre économie à terre pour longtemps, à cause d’une maladie rare, avec ses 0,0003 % de diffusion, nous “maudirons” les pays nordiques qui seront en pleine santé économique et auront développé une immunité contre un virus qui sera peut-être plus virulent l’hiver prochain…

Pourquoi alors ne pas téléphoner aux Ambassadeurs des Pays-Bas, de Suède, de Grande Bretagne, pour entendre leurs justifications ?

Faut-il uniquement prendre pour argent comptant les dires (non étayés) des experts (?), « chevaliers de l’Apocalypse » qu’on entend sévir dans les médias ? S’ils préconisent un jour de lancer une bombe atomique sur le Grand Est, allons-nous vraiment le faire ??

Passer ces appels téléphoniques n’engage à rien ; ne pas le faire ne serait pas digne d’un chef de gouvernement qui a le devoir de s’informer complètement avant de prendre des mesures drastiques.

Mais le COVID 19 a quand même un effet très bénéfique : apparemment, plus personne, cette année, ne meurt de la grippe (?), sans quoi les médias qui se délectent en annonçant chaque jour le nombre de personnes atteintes du COVID, se seraient empressés de nous le dire, n’est-ce pas ?

Autre effet positif : les agaçantes relances pour l’arnaque de l’isolation à 1 € ont enfin cessé…

Réponse
les Tronches de Cake
Trugluff 24 mars 2020 - 17h33

Excellent article particulièrement bien écrit, toutes mes félicitations pour ce plaidoyer intelligent et plein de bon sens. J’ai beaucoup aimé le passage :”Plus navrant : on ne peut plus faire à nos défunts des funérailles dignes de ce nom, aussi bien dans un funérarium étriqué que dans une vaste cathédrale, où c’est limité à 20 personnes. Quand je pense à toute la polémique d’il y a quelques semaines à propos du congé en cas de décès d’enfant, et où on appelait à faire preuve « d’humanité ». Où trouver cette « humanité » s’il n’y a même pas la place pour tous les proches ? On peut très bien se passer de défiler devant la famille en leur serrant longuement les mains et en leur bavant sur la figure, ce qui suffirait à réduire les risques.”
J’espère que sa longueur n’effraiera pas car ce serait dommage de passer à côté d’une telle richesse. Encore merci

Réponse
patron du 17 25 mars 2020 - 17h16

bonjour, a tous .
MACRON a dit , personne ne sera oublié , tout le monde sera soigné , quelqu’en soit le prix a payer.
pourtant , il semble que les masques ne soient pas gratuit , mais desesperement rare ; donc inefficace,.
il semble que le gel soit rare , donc le savon fera l affaire .
le personnel medical manque , les heures sup seront payées ……….promesse d avant election.
chomage partiel pour tout le monde …..oups , ca coute cher , que les faineants retournent au boulot , en restant chez eux , promesse d’avant election…non tenu , quelle surprise …
nous sommes la risée de nos voisins europeens ……..j ai honte d etre francais

Réponse
les Tronches de Cake
Trugluff 25 mars 2020 - 17h44

Cela faisait longtemps, je suis content de te lire. N’ai pas honte d’être Français, je ne suis sûr qu’ailleurs ce soit mieux !

Réponse
Raoul ROD 26 mars 2020 - 7h51

L’humain une denrée indomptable, un cerveau en jachère afin de faire fonctionner que 10% de son potentiel par son volume.
Précaution liminaire
Je l’ai dit et le répète : en ces temps de mobilisation collective, nous avons tous à respecter scrupuleusement les mesures qui sont imposées. Même si on doute de celles-ci ou qu’on les trouve inadaptées, aucun d’entre nous ne peut se donner le droit de suivre sa propre idée. Cette compliance – que je n’ai cessé de prôner – m’habite inconditionnellement.
Par contre, cette obéissance civile ne doit surtout pas conduire à une interdiction de penser ou de parler.
Nous vivons des temps hautement traumatiques, avec des dégâts sur la population qui seront considérables. Donner sens à ce que nous vivons, nous renseigner, oser poser des questions est non seulement un droit inaliénable mais aussi une nécessité vitale !
J’ai lu passablement de commentaires ironiques sur le nombre soudain de virologues ou d’épidémiologies amateurs s’exprimant sur les réseaux sociaux, ce que je peux comprendre. Mais je pense à l’inverse que plus les citoyennes et citoyens s’intéresseront à ce qui nous arrive, plus ils s’informeront ou même se documenteront, mieux cela nous aidera à mettre en dialogue ce que nous vivons, ce qui essentiel à la fois pour notre santé psychique individuelle et notre résilience collective.
Juste un récapitulatif.:
ROD R.

Réponse
les Tronches de Cake
Trugluff 26 mars 2020 - 14h55

Merci pour ce bon conseil, jamais inutile à rappeler.

Réponse
Charles Hulsmans 29 mars 2020 - 20h47

Il n’y a pas que les pays méditerranéens qui ont des chiffres records.
En Norvège, un Viking a réussi à postillonner au-delà de deux mètres.

Réponse
les Tronches de Cake
Trugluff 30 mars 2020 - 15h29

Merci pour cette info indispensable au débat. A bientôt

Réponse
Charles Hulsmans 30 mars 2020 - 14h00

Il est de notoriété publique qu’il n’y a pas assez de masques pour les héroïques travailleurs sanitaires, pour éviter d’augmenter le nombre de martyrs.
Il semble aussi évident que le manque en devient crucial dans les usines et dans les ateliers.
Les entreprises qui participent aux programmes spatiaux, le trip vers Mars par exemple, auront du mal à certifier -non contaminé- l’un ou l’autre boulon spécifique produit.

Si pour les uns, la chose est simple, c’est une punition divine, point-barre ; pour les croyances scientifiques différentes, donc pour les querelles d’experts, c’est dans une autre paire de manches qu’il faut éternuer.
Les néogurus invités aux TV mettront en exergue le côté positif d’une partie des nouveaux chiffres. Ils resteront prudents pour le reste, leur protocole étant une justesse verbale académique et conditionnelle.
Hors antenne, ils avoueront qu’ils ne savent pas plus l’avenir que les copines de Madame Soleil.

Il est encore tôt pour spéculer de la future hygiène dans les voyages interstellaires.
Les capsules habitées à venir devront inclure des paramètres encore inconnus.
Par le passé, pendant la guerre froide, on interdisait aux astronautes d’embrasser les cosmonautes sur la bouche.
L’application non réfléchie de traditionnelles embrassades faisait rougir le téléphone analogue entre les deux grands de ce monde.

On pensait encore aux gens à l’époque, et simplement, comme on ne savait pas faire des projections électroniques digitales, on paya bien cher pour envoyer, en orbite, un singe d’abord, avant de risquer la vie d’un de nos semblables.

L’Univers est la plus grosse chose, et il contient tout. On ne saurait donc l’observer en entier, puisqu’il faudrait du matériel en plus de tout, qui est déjà dedans. L’Univers est comme la plus belle nénette du monde, qui ne sait donner que ce qu’elle a.
Ne sachant pas grand-chose de la réalité cosmique, les théories fusent sur les débuts qui fussent.
Par définition, les théories ne savent ni être réfutées, ni confirmées. Ce qui permet donc de spéculer sur la genèse de l’espace. Il ne manque pas de petits jeunes qui essayent de remplacer la quasi centenaire hypothèse des Jésuites : le Big Bang.

Qu’importe, si les mondes parallèles existent, le voyage vers les planètes passera par le vide sidéral.
Il est possible qu’il y ait d’autres vides que celui dont on sait si peu ; alors soyons attentifs aux problèmes que les co-vides disent neufs.

Réponse
les Tronches de Cake
Trugluff 30 mars 2020 - 15h32

Reviens vers nous Charles, je crois que tu t’égares ! Nous ne voulons pas te perdre.

Réponse

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